Le groupe allemand Meiko lance UPster, une nouvelle gamme de lave-vaisselle à la fois haut de gamme et accessible, répondant aux exigences du secteur particulièrement dynamique de la restauration et de l’hôtellerie.
« Les professionnels désirent bénéficier de la qualité Meiko. Désormais, à travers notre nouvelle gamme de machines UPster, nous leur offrons le fruit de 88 ans d’innovation, une technologie de pointe ainsi que notre expérience globale dans le secteur », explique Olivier Robin, PDG de Meiko France. « Sans rogner sur les standards élevés de qualité de la marque, nous sommes en mesure de proposer des modèles Meiko performants à un prix accessible qui couvrent l’ensemble des besoins de nos clients aussi bien sur le segment de la restauration commerciale que de la restauration collective. »
Cette nouvelle gamme très complète se compose de modèles sous comptoir pour le lavage des verres et de la vaisselle, ainsi que de modèles à capot et des machines à avancement automatique au design modulaire, avec des délais de livraisons compris entre 48h et 1 semaine.
Les machines à avancement UPster K sont notamment particulièrement polyvalentes, et peuvent s’intégrer dans de petites cuisines (les 5 modèles de la série mesurent 1900 mm de hauteur). Le client a également la possibilité de rajouter un module sur sa machine pour augmenter sa capacité de casiers. « La conception modulaire de la UPster K offre une souplesse unique sur le marché à nos clients qui ont ainsi la possibilité de la faire évoluer en fonction de leur développement plutôt que de devoir racheter une nouvelle machine », détaille Aloïs Bohélay-Soulé, responsable marketing de Meiko France.
La UPster K est également la première machine à avancement automatique du marché qui ne nécessite pas de raccordement direct d’extraction d’air, mettant fin au problème posé par l’adaptation aux systèmes de ventilation. « Nos machines UPster sont équipées de série d’un condenseur de buées à récupération d’énergie qui améliore le confort de travail dans la laverie grâce à une température de l’air rejeté inférieur à 25°C », explique Aloïs Bohélay-Soulé.
Une avancée technique permettant une réduction des consommations énergétiques d’environ 30%.